Uriah Heep
Into The Wild
Hard rock/AOR à tendances progressives
Sortie: déjà disponible
À ses débuts Uriah Heep avait de très sérieux compétiteurs, c'est-à-dire Deep Purple, Black Sabbath et Led Zeppelin. Bien sûr la plupart des observateurs diront qu’ils ne faisaient définitivement pas le poids mais, quarante quelques années plus tard eux sont toujours là – contrairement aux autres qui, à part Deep Purple, sont tombés depuis longtemps au combat - ce qui fait de ce quintet anglais le groupe du genre le plus actif de sa génération.
Depuis les années 1970 ils sont devenus un véritable groupe culte qui compte des fans partout dans le monde. Depuis 2008 ils ont sorti 3 albums soit l’excellent Wake The Sleeper de 2008, Celebration de 2009 (sur lequel il ont réenregistré certains de leurs classiques et de leurs gros canons avec 2 inédits) et leut tout nouveau, Into The Wild, qui a été enregistré en janvier dernier.
À la première écoute je n’étais vraiment pas sûr – même par bouts ça me faisait penser à du Journey (et quand c’est moi qui dit ça, c’est vraiment loin d’être un compliment). Surtout que la pièce qui ouvre le disque, Nail on the Head, est vraiment mauvaise (ça fait mélange de Journey et de « Uriah Heep de la fin des années 70 » avec une production des années 80 - vraiment mauvais). Mais après quelques écoutes j’ai beaucoup apprécié le reste du disque qui est à mon avis, un des meilleurs qu'ils ont enregistré avec le chanteur canadien Bernie Shaw, le meilleur et le plus talentueux des successeurs de David Byron, qui officie depuis les années 1980.
On y retrouve des petits bijous comme : Southern Star (une des plus mémorables du disque et qui rappelle des pièces très mélodiques comme Lady in Black avec un refrain entonné en chœur et qui va assurément faire un tabac en concert auprès de leurs fans), I Can See You, I'm Ready. Money Talk et la pièce titre qui rappelle un peu Deep Purple à son meilleur.
Dans l’ensemble Into The Wild se rapproche musicalement de l’album Abominog avec son style très mélodique et accrocheur. Un disque très bien foutu, mais bien moins métal toutefois que son prédecesseur, Wake The Sleeper.
Cote: 9
Depuis les années 1970 ils sont devenus un véritable groupe culte qui compte des fans partout dans le monde. Depuis 2008 ils ont sorti 3 albums soit l’excellent Wake The Sleeper de 2008, Celebration de 2009 (sur lequel il ont réenregistré certains de leurs classiques et de leurs gros canons avec 2 inédits) et leut tout nouveau, Into The Wild, qui a été enregistré en janvier dernier.
À la première écoute je n’étais vraiment pas sûr – même par bouts ça me faisait penser à du Journey (et quand c’est moi qui dit ça, c’est vraiment loin d’être un compliment). Surtout que la pièce qui ouvre le disque, Nail on the Head, est vraiment mauvaise (ça fait mélange de Journey et de « Uriah Heep de la fin des années 70 » avec une production des années 80 - vraiment mauvais). Mais après quelques écoutes j’ai beaucoup apprécié le reste du disque qui est à mon avis, un des meilleurs qu'ils ont enregistré avec le chanteur canadien Bernie Shaw, le meilleur et le plus talentueux des successeurs de David Byron, qui officie depuis les années 1980.
On y retrouve des petits bijous comme : Southern Star (une des plus mémorables du disque et qui rappelle des pièces très mélodiques comme Lady in Black avec un refrain entonné en chœur et qui va assurément faire un tabac en concert auprès de leurs fans), I Can See You, I'm Ready. Money Talk et la pièce titre qui rappelle un peu Deep Purple à son meilleur.
Dans l’ensemble Into The Wild se rapproche musicalement de l’album Abominog avec son style très mélodique et accrocheur. Un disque très bien foutu, mais bien moins métal toutefois que son prédecesseur, Wake The Sleeper.
Cote: 9