Astra
The Weirding
(rock progressif ambiant)
Sortie : le 23 juin 2009
Les origines de Astra remontent à la formation du groupe Silver Sunshine en 2001, un quatuor qui était composée des deux chanteurs, guitaristes et claviéristes Richard Vaughan et Conor Riley, ainsi que des frères Sclater, le batteur Andrew et le bassiste Stuart. En 2006 Andrew a quitté le groupe et il a été remplacé par David Hurley et le guitariste et claviériste Brian Ellis s'est joint par la suite et ils ont changé de nom pour prendre celui de Astra.
J’étais passé tout à fait à côté d’eux et je les ai uniquement remarqué quand leur disque intitulé The Weirding a été choisi par les journalistes du magazine Classic Rock comme étant un des meilleurs de l’année 2009. Il s’agit du premier album de ce groupe de rock progressif planant et un peu psychédélique dans la mouvance de ce que Pink Floyd faisait à l’époque de Meddle (on pense aussi à King Crimson, particulièrement à cause de leur utilisation du mellotron). C’est spatial comme musique et très atmosphérique.
Au-delà de l'excellence de leur musique, ce qui est d’autant plus surprenant c’est qu’ils sont originaires de San Diego (une région qui n’est pas vraiment reconnue pour sa culture rock progressive), en plus d'être signés à l’étiquette Metal Blade.
Les pièces en général sont assez longues et oscillent de 5 à 17 minutes. Le disque est présenté dans une pochette à la Roger Dean et devrait plaire définitivement aux amateurs de rock progressif ambiant.
Cote :8
J’étais passé tout à fait à côté d’eux et je les ai uniquement remarqué quand leur disque intitulé The Weirding a été choisi par les journalistes du magazine Classic Rock comme étant un des meilleurs de l’année 2009. Il s’agit du premier album de ce groupe de rock progressif planant et un peu psychédélique dans la mouvance de ce que Pink Floyd faisait à l’époque de Meddle (on pense aussi à King Crimson, particulièrement à cause de leur utilisation du mellotron). C’est spatial comme musique et très atmosphérique.
Au-delà de l'excellence de leur musique, ce qui est d’autant plus surprenant c’est qu’ils sont originaires de San Diego (une région qui n’est pas vraiment reconnue pour sa culture rock progressive), en plus d'être signés à l’étiquette Metal Blade.
Les pièces en général sont assez longues et oscillent de 5 à 17 minutes. Le disque est présenté dans une pochette à la Roger Dean et devrait plaire définitivement aux amateurs de rock progressif ambiant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire