Symphony X
Iconoclast
Métal progressif et symphonique
Sortie: 28 juin 2011
Premier album en quatre ans pour ce groupe qui est loin d’être prolifique puisque, de l’avis même des membres du quintet ils travaillent très lentement et n’arrivent tout simplement pas à enregistrer plus vite – ils se disent trop perfectionnistes. En 11 ans ils ont sorti seulement 4 albums. Ce nouvel opus est dans la même veine que les deux précédents, c'est-à-dire qu’il est plus métal que progressif – beaucoup plus métal que les premiers albums de ce quintet du New Jersey qui était considérés comme "progressifs" à leurs débuts. Le chanteur Russell Allen cite mêmes les influences de groupes de thrash « old school » sur ce nouvel album comme Testament et Slayer. Mais, évidemment, on y retrouve aussi ce qui a fait depuis toujours la marque de fabrique de Symphony X, c'est-à-dire des passages épiques à la guitare et au clavier. Et, bien sûr la voix de Russell Allen est absolument parfaite, ce qui en fait un des plus dignes héritiers de Ronnie James Dio.
Le disque a eu de très bonnes critiques de la part de certains magazines spécialisés mais personnellement, j’ai été plutôt déçu et c’est celui que je trouve le plus faible des trois derniers. Il est pas mal moins bon que ses prédécesseurs, Paradise Lost et The Oddyssey. C’est dommage mais ça ne m’a pas du tout emballé et je ne trouve pas que ça vaut plus que 7,5 sur 10.
Le disque a eu de très bonnes critiques de la part de certains magazines spécialisés mais personnellement, j’ai été plutôt déçu et c’est celui que je trouve le plus faible des trois derniers. Il est pas mal moins bon que ses prédécesseurs, Paradise Lost et The Oddyssey. C’est dommage mais ça ne m’a pas du tout emballé et je ne trouve pas que ça vaut plus que 7,5 sur 10.
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